Clôture du Bourde 2016 : Les recommandations d'Al Amine sur le retour de la peine de mort au Sénégal
A la Zawiya, les pélerins ont pris trés tot d'assaut les lieux pour se faire une place pour recevoir et/où faire des prières. Les chants religieux ont été psalmodiés et le lieu n'a pas refusé de monde avec des hommes, des femmes et des enfants qui viennent de partout pour converger vers Tivaoaune.
Les clôtures de Bourde sont souvent marquées par le discours du porte parole de la famille, Serigne Abdoul Aziz Al Aminn. Ce dernier, avec fermeté, a rappelé les enseignements de ''Maodo'' (El Hadji Malick Sy, son grand père: Ndlr).
Et, Al Amine d'inviter les ''talibés Cheikh'' de venir dans la ville sainte de Tivaouane pour célébrer la naissance du prophéte de l'Islam (PSL). C'est dans cette optique qu'il a défendu que la peine de la mort qui secoue les débats au Sénégal depuis quelque temps ne saurait être appliquée dans ce pays car '' nous ne sommes pas un pays musulman, mais des colonisés et cette loi a été appliquée du temps de Insa (Jésus)".
Sur ce, il va plus loin et indexe même ces jeunes partis dans d'autres pays pour des études et qui, à leur retour, d'un revers de la main, nie ce que nos érudits nous ont inculqué. Il n'est pas question, selon le guide religieux, de laisser prospérer ce genre d'endoctrinement.
Khary Diéne, Leral.net
Les clôtures de Bourde sont souvent marquées par le discours du porte parole de la famille, Serigne Abdoul Aziz Al Aminn. Ce dernier, avec fermeté, a rappelé les enseignements de ''Maodo'' (El Hadji Malick Sy, son grand père: Ndlr).
Et, Al Amine d'inviter les ''talibés Cheikh'' de venir dans la ville sainte de Tivaouane pour célébrer la naissance du prophéte de l'Islam (PSL). C'est dans cette optique qu'il a défendu que la peine de la mort qui secoue les débats au Sénégal depuis quelque temps ne saurait être appliquée dans ce pays car '' nous ne sommes pas un pays musulman, mais des colonisés et cette loi a été appliquée du temps de Insa (Jésus)".
Sur ce, il va plus loin et indexe même ces jeunes partis dans d'autres pays pour des études et qui, à leur retour, d'un revers de la main, nie ce que nos érudits nous ont inculqué. Il n'est pas question, selon le guide religieux, de laisser prospérer ce genre d'endoctrinement.
Khary Diéne, Leral.net