Qui travaille ?
À entendre la première ministre, le partage de la valeur, objet d’une négociation il y a quelques jours, serait un acquis historique. Ainsi Stellantis, résultant de la fusion de PSA et Chrysler, fort de son résultat exceptionnel de 17 milliards d’euros, pourrait redistribuer 2 milliards à ses 280 000 salariés et 4 milliards à ses actionnaires (14,4 % pour la famille Agnelli, 7,2 % pour la famille Peugeot…). Même Nicolas Demorand, jeudi sur France Inter, en recevant Olivier Véran, le ministre du Renouveau démocratique – belle ambition – semblait s’en inquiéter, c’est dire !