Nantes. 80 ans après la mort des 50 otages, « défendre la Résistance n’est pas une lubie »
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« Raymond Laforge, 43 ans. Maximilien Bastard, 21 ans. Julien Le Pause, 34 ans… » La litanie de leurs noms dure près de quatre minutes. Ils étaient 48, ceux qu’on appelle les 50 otages.Quarante-huit hommes fusillés par les nazis, en représailles de la mort du lieutenant-colonel Karl Hotz, abattu...