Boxe. Georges Ory : « Le sentiment d’avoir mené le combat à ma guise »
Il y avait du bruit, de la sueur et de la joie, samedi autour de minuit, salle Jean-Bouin. « Tino » était heureux, entouré des siens. Et avant de retrouver son lit, vers 6 h du matin, il a dû satisfaire à quelques obligations : ne pas se doucher avant le contrôle antidopage puis aller à l’hôpital...