Maurice Genevoix : "Mes camarades, mes camarades, c'est pour vous tous que je parle"
Ce jour-là, le général évoqua la France. Genevoix lui succéda : "Mes camarades, mes camarades, c'est pour vous tous que je parle", puis il tenta de glisser la main des jeunes hommes morts de la Grande Guerre dans la main des soixante-huitards.