Au procès de l’attentat de Magnanville, la franchise de l’accusé : « L’islam n’est pas compatible avec la démocratie »
Les deux premiers jours du procès étaient consacrés à la personnalité de l’accusé, Mohamed Lamine Aberouz, qui n’a pas fait mystère de sa vision très rigoriste de l’islam. L’occasion d’un rare moment d’audience : sa première rencontre physique avec son épouse religieuse, citée comme témoin.